dimanche 29 avril 2018

Inde, seconde partie

Mes deuxième et troisième jours en Inde, j'ai décidé de poursuivre mon exploration en me risquant davantage à pied, ce qui n'est pas chose facile en raison du trafic et de la foule qui vont et viennent sans interruption.

Scène de rue typique à Pune

Il y a quelque chose d'assez incroyable à marcher dans ces rues bouillonantes d'activités. Des enfants jouent pieds nus au cricket, des femmes vendent des fruits assises sur le sol en tenues traditionnelles, les motos et scooters fusent à toute allure en passant à quelques centimètres des piétons, obligés de marcher sur la route, les rares trottoirs étant pris d'assaut par les deux roues ou des étalages colorés de vêtements, fruits, légumes ou fleurs.

Ruelle

Tous les sens sont en éveil : Avec le bruit des klaxons et des moteurs, les odeurs tantôt enchanteuses d'encens ou de cuisine, voire nauséabondes d'égoûts et d'excréments, et l'oeil attiré à droite et à gauche par toutes ces couleurs, ces textures, ces scènes surprenantes à chaque coin de rue... On ne s'en lasse pas et on est toujours sur le qui vive !

Facade dans la vieille ville

Mon temps et mes déplacements étant limités, je me suis concentré sur la visite de quelques temples à proximité de mon hôtel. Pour vous donner une idée, le second jour, un taxi m'a emmené en 50 minutes dans la vieille ville (distance de 3,5 kilomètres !) après une attente d'une demie-heure,  et j'ai fait le retour à pied en 45 minutes... Pratiquement trois heures dehors par 37-40 degrés pour seulement 7 kilomètres parcourus.

Temple Lal Mahal dans la vieille ville

La plupart des temples sont ouverts sur les côtés, ce qui permet d'entendre les chants et de voir ce qui s'y passe sans risquer de déranger les gens à l'intérieur.

Temple Jangi Maharaj, où les quelques personnes présentes chantaient en continu

Mini temple pour Ganesha, le dieu à tête d'éléphant

Sur les routes, on voit toutes sortes de choses impensables en Europe ou aux USA... Par exemple, mon chauffeur a volontairement pris une bretelle d'accès à un boulevard à contresens, alors que des dizaines de motos et véhicules arrivaient face à nous !

Heureusement, il a utilisé LA méthode qui vous donne l'immunité en Inde dans ce genre de situation : Le klaxon ! Si vous voulez passer en force entre deux véhicules ou prendre une rue à contresens, il suffit de klaxonner à fond et les gens s'écartent. Facile, non ?

Voilà une petite vidéo pour vous donner une idée de l'anarchie dans les rues, avec les piétons qui se faufilent au milieu :


J'ai dû traverser la rue que l'on voit à la fin de la vidéo ci-dessus, et j'ai eu à attendre deux minutes sur un petit terre-plein au milieu, avec scooters et motos qui passaient à fond à moins de cinquante centimètres devant et derrière moi... Ce fut long, il fallait avoir le coeur bien accroché !

Du coup, ma tactique était de trouver des locaux qui voulaient traverser, et de les suivre en train de zigzaguer au milieu des véhicules, car il n'y a aucune autre option. Après quelques jours en Inde, on s'y habitue et tout ce désordre s'avère être en fait assez bien organisé, vu que tous les chauffeurs et piétons sont devenus experts en la matière...

Vache aux cornes oranges en pleine rue

J'ai même eu droit à une promenade en deux roues lors de mon dernier soir sur place, car mes "élèves" voulaient m'inviter au restaurant pour me faire goûter à plein de spécilaités locales. Je me suis régalé, et j'ai eu le droit aux frissons de passer à vingt centimètres des autres véhicules dans le traffic...

Des couleurs encore et toujours...

Je pourrais pratiquement écrire un livre sur le sujet tellement il y aurait de choses à raconter sur l'Inde... Je ne pense pas que je pourrais y vivre, mais vivre une semaine de dépaysement de la sorte est super enrichissant, et pour l'amateur de photographie que je suis, c'était le pied total avec toutes ces textures, couleurs et contrastes :

Dans un slum, poubelles qui s'accumulent sur les toits... Regardez comme les gens sont bien habillés ! Malgré la pauvreté, les Indiens sont tous habillés avec de superbes tenues traditionnelles ou en chemises... Ce n'est pas le pays du textile pour rien !

C'est en visitant d'autres horizons que l'on apprécie davantage encore notre quotidien d'occidentaux. Car même si j'ai été accueilli comme un prince, avec un chauffeur personnel (sytématiquement en retard), une personne qui me servait café et repas en gants blancs au bureau (!!!), il est clair que rien n'est facile là bas. 

A l'hôtel, tous les véhicules qui arrivent sont contrôlés pour être sûr qu'il n'y a pas de bombe à l'intérieur ! Je devais ensuite passer au détecteur de métaux et mon sac au scanner avant d'entrer dans l'hôtel, et pareil dans les centres commerciaux !

La pauvreté évidemment saute aux yeux partout, les infrastructures sont des années en retard, et globalement rien ne fonctionne correctement. Si vous allez en Inde, il vous faudra être extrêmement patient et compréhensif. 

Attendez vous à devoir choisir 4 ou 5 options différentes de repas car la plupart des choses au menu ne seront en fait pas disponibles. Si on vous donne une heure de rendez-vous, attendez vous à ce qu'il y ait 30 à 45 minutes de retard, et ainsi de suite, car tout semble difficile quoiqu'il en soit. Rien ne marche du premier coup, et rarement du second coup.

Intersection colorée

Le clou pour moi est que je n'ai jamais réussi à avoir de l'argent liquide local, car à l'aéroport de New Delhi un premirer bureau de change m'a dit qu'il n'avait pas de roupies (!!!), et le second voulait me prendre 10 dollars de commission pour changer 20 dollars en roupies... J'ai donc fini par abandonner et ai tout payé en carte, ce qui ne marchait pas environ six à sept fois sur dix !


Mais l'expérience valait le très long déplacement, et je serais ravi d'y retourner un jour. Juste pour ce sentiment indescriptible d'être complètement perdu au milieu d'un monde totalement différent (les photos parlent d'elles mêmes), dont les règles semblent incompréhensibles, mais où les gens nous acceuillent à bras ouverts, nous font goûter à leur cuisine, s'assurent de notre bien être, de nôtre sécurité, le tout avec une générosité tout simplement énorme.

J'ai formé plus de 300 personnes ces deux dernières années, et c'est la première fois que j'ai été invité au restaurant par mes élèves, et la première fois que je repars avec des cadeaux, preuve de l'hospitalité unique dont mes hôtes Indiens ont fait preuve :

Gourmandises reçues en cadeau par mes "élèves" !

Voilà donc pour ce très beau voyage. Même si je n'ai vu que les rues, que mes visites ont été limitées, je suis vraiment content de l'avoir fait, et espère que mon activité professionnelle contunera de me proposer des opportunités de découvertes inattendues comme ce voyage en Inde !

mercredi 25 avril 2018

Wandering in India

Dimanche dernier, j'atterrissais en Inde après un long périple : Départ de Sacramento à 7h du matin samedi, arrivée à l'hôtel à Pune à 22h le dimanche soir !

Je m'avais jamais mis les pieds en Asie, c'est donc une grande première, et je dois avouer que rien n'aurait pu me préparer à une telle aventure.

En fait on ne traverse ni Atlantique ni Pacifique pour aller en Inde depuis la Californie : On monte au pôle nord et on redescend de l'autre côté ! On passe donc plus de temps à survoler des terres que de l'eau, qui l'aurait cru ?

La première étape du voyage consistait à arriver vivant à l'hôtel. Car ce qui frappe d'emblée le nouvel arrivant, c'est l'anarchie complète du trafic, constitué à 70% de motos et scooters, 20% de petites voitures, et 10% d'un peu tout le reste.

Vous avez dit trafic dense ? Notez qu'il n'y que deux voies de circulation, mais que les voitures se mettent à trois ou quatre de rang sans problème, sans parler des deux roues entre tout ça...

Ca part dans tous les sens, ça klaxonne à tout va, les feux et les sens interdits sont là pour faire joli, et il faut ajouter à tout ça les piétons, chiens et chèvres qui traversent au milieu de marées incessantes de véhicules sans la moindre hésitation.

J'ai cru mourir 4 ou 5 fois avant d'arriver à l'hôtel, mais finalement tout s'est bien passé.

Trafic tranquille en Inde !

Je comprenais alors les retours trouvés sur internet d'occidentaux terrorisés qui passaient leur séjour cloitrés à l'hôtel sans oser sortir. Car marcher dans la rue est aussi un challenge, et traverser la moindre route demande de passer au milieu de tous ces véhicules, ce que les locaux font sans sourciller...

Heureusement, mon client avait anticipé : J'ai un chauffeur qui vient me chercher à l'hôtel pour m'emmener au bureau, et trajet inverse le soir. La grande classe !

Servi comme un roi à l'hôtel... Qu'est ce que je me régale !

Sauf que je ne peux pas me contenter de faire ces trajets sans partir à l'aventure moi même. Donc dès le premier soir, je décide de quitter l'hôtel et de partir voir un temple qui se trouve le long de la même rue, donc pas de route à traverser, parfait pour une initiation en douce.

C'est donc par 40 degrés un lundi en fin d'après midi que je m'attaque aux rues de Pune, ou ce qu'il en reste par endroits :

Si on met des bouts de tissu sur une grosse grille qui bouche un trou dans la "route", ça doit le faire, non ?

Et j'arrive donc au temple Chattushringi, qui est au pied d'une colline. Les gens grimpent les escaliers pieds nus, ce qui semble être la coutume.

Le temple Chattushringi

L'atmosphère est ultra calme, à l'opposé du bruit incessant du trafic quelques mètres plus loin. Les gens vont et viennent doucement, se reposent, chantent. Peu d'entre eux me prêtent attention, bien que je sois le seul occidental de sortie, ce qui me convient parfaitement.

Au pied du temple, des filles vendent des fleurs que les fidèles peuvent aller déposer à l'intérieur. C'est coloré, contrasté, un vrai plaisir pour photographe :

Vente de fleurs devant le temple

Je range mon appareil photo avant de prendre le chemin du retour, car me promener matériel au cou me semble peu approprié dans un pays où 60% de la population vit avec moins de 90 dollars par mois. D'ailleurs, la pauvreté est partout est extrêmement frappante, bien plus que ce que j'avais pu voir en Afrique du Sud, en Namibie ou à Detroit.

C'est d'autant plus surprenant que toutes les grandes entreprises high-tech ont des grandes tours flambant neuves façon Silicon Valley, et juste à leur pied il y a ça :

Un slum juste à côté du bureau de mon client. Des dizaines de milliers de personnes vivent dans ces bidonvilles en bois et en alu, sans eau courante ni toilettes... Et il fait 40 degrés !

Il faut dire qu'un ingénieur Indien touche dans les 8000 dollars par an... Ce que le même ingénieur peut facilement gagner en un mois aux USA. Pas surprenant donc de voir les flux migratoires de l'Inde vers les US ! 

Pour vous donner une idée, 70 à 90% des gens que je forme aux USA sont d'origine indienne - que ce soit au Texas, à Washington DC ou à San Francisco. Je connaissais déjà donc bien l'accent et certaines particularités culturelles.

Scooters qui passent à 20 centimètres de la voiture... Notez les feux à l'intersection, et le trafic qui va dans tous les sens malgré tout !

Mon expérience de la rue ce premier soir me donne envie d'en voir plus et de pousser mes explorations un cran plus loin les soirs suivants... C'est absolument dingue et je ne peux donc pas m'arrêter en si bon chemin, donc je vais continuer mes sorties et vous raconter tout ça dans de futurs articles... A suivre donc !

Vue de devant l'hôtel avec les complexes des sociétés high-tech


vendredi 20 avril 2018

Pasadena, Californie

Fin février début mars, nous avons profité d'un voyage business à Palm Springs pour faire un petit road trip en Californie du Sud. Notre première étape : Pasadena, dans la périphérie de Los Angeles.

Des palmiers, un grand ciel bleu, et de la neige sur les sommets ! Bienvenue en Californie.

J'avais fait un tour rapide à Pasadena l'an dernier pour une formation de 2 jours, mais les jours étant courts en novembre, je n'avais pas pu explorer grand chose.

Cette fois-ci, l'occasion était belle de se rattraper avec toute la famille qui plus est.

Le magnifique hôtel de ville

Pour moi, Pasadena c'est tout d'abord le Rose Bowl, stade où a eu lieu la finale de la coupe du monde de foot 1994, la première que j'aie suivi de bout en bout à l'âge de 11 ans...

Forcément, je voulais aller voir ce stade mythique, dans lequel nous n'avons pas pu entrer :

Le mythique Rose Bowl de Pasadena !

L'autre aspect de Pasadena c'est son côté historique, car la ville est traversée par la route 66, avec un des plus beaux ponts de Californie sur lequel passait cette route tout aussi mythique : Le Colorado Street Bridge.

Le Colorado Street Bridge est un véritable viaduc qui forme un joli arc de cercle

Le Rose Bowl vu depuis le pont

Un peu comme à Santa Barbara, l'architecture d'une bonne partie de la ville est tout simplement magnifique, et les maisons paradisiaques se succèdent les unes après les autres :

Un bien joli cadre, non ?

Pour finir cette visite, nous sommes passés par un autre bâtiment historique, la cour d'appel US Richard H. Chambers

En voilà un tribunal original !

La particularité de ce bâtiment est que c'est un ancien hôtel de luxe reconverti en tribunal ! On peut visiter le rez de chaussée gratuitement mais sans pouvoir y prendre de photos, dommage car c'était vraiment joli à l'intérieur également.

L'entrée principale

Voilà pour cette petite étape à Pasadena où nous avons passé une nuit avant de rejoindre le désert d'Anza Borrego le lendemain, qui sera le sujet d'un prochain article. Une ville sympathique qui méritait bien un petit arrêt pour la visiter !

dimanche 15 avril 2018

Zion - Kolob Canyons & Terrace [Utah]

Dernier article de notre road-trip entre Utah et Arizona en octobre 2017, avec la visite du parc national de Zion. Ayant déjà visité Zion en 2010, nous avions décidé de commencer par explorer deux zones moins fréquentées du parc, à commencer par Kolob Terrace Road :

Couleurs d'automne en route

Nous sommes allés jusqu'au bout de cette route qui offre quelques jolis paysages ça et là, et permet surtout de faire de belles randonnées sur les hauteurs de Zion. La plus belle portion de la route se trouve vers le tout début, où l'on longe et tourne autour de magnifiques monolithes rouges :

Kolob Terrace Road

Le point de vue à la fin est surprenant car on est tellement hauts que tout est vert et même si on devine le canyon principal de Zion, on n'en reconnait pratiquement pas les couleurs :

Lava Point Overlook, face au canyon de Zion

Du coup, nous décidons de retourner dans le canyon pour y retrouver la grandeur de ses paysages, et là on en prend plein les yeux :

Zion est magique !

Nous avons pas mal randonné dans cette grande vallée, malgré une chaleur assez incroyable pour un mois d'octobre, pas loin des 30 degrés !

On passe sur Virgin River avec de multiples passerelles. L'eau est transparente, le ciel bleu, les arbres jaunissent, le photographe est heureux !

Des chemins qui invitent à la promenade

Le lendemain, sur la route du retour vers Salt Lake City, nous passons par Kolob Canyons Road, une autre route qui mène à un point de vue principal et à de multiples randonnées pour explorer les canyons.

La route est rouge elle aussi !

Les distances étant trop importantes pour explorer tout ceci avec les petits, nous nous contentons de la jolie vue à Timber Creek Overlook:


Après presque 4 heures de route, nous rejoignons Salt Lake City où nous passons la nuit avant de prendre l'avion pour Sacramento le lendemain. Un court vol d'une petite heure afin d'économiser 10 heures de route entre la capitale de l'Utah et la maison !

Toutes mes photos de Zion 2017 sont visibles ici.



mercredi 4 avril 2018

L'importance des objectifs - Business update n°13

Un nouveau trimestre vient de se terminer, c’est donc le moment de ma traditionnelle business update. Comme vous le savez certainement, nous sommes arrivés en Californie en 2014 avec un visa investisseur afin d’exercer mon activité de consultant en informatique.

 Je gère donc ma propre société, Interstate 21 (désormais aussi connue sous le nom Angular Training) et cet article en fait le bilan tous les trois mois.

Mon QG mobile aérien s'est retrouvé pour la première fois en première classe cette année, grâce aux dizaines de milliers de miles accumulés avec Delta l'an dernier, nouveau statut de membre fidèle oblige !

Pour une fois, je vais rédiger ce bilan objectif par objectif, avec le pourquoi de chaque but, un peu du comment, et les progrès réalisés, histoire d'illustrer l'importance d'avoir une direction dans laquelle se diriger.

Premier objectif : Etre sélectionné pour parler à au moins trois conférences en 2018

Pourquoi ? Après être intervenu à une conférence en septembre 2017, j'en récolte toujours les fruits en 2018, avec plusieurs dizaines de milliers de dollars de revenus générés directement grâce à mes interventions à Atlanta. Je veux donc récidiver au moins 3 fois en 2018.

Comment ? J'ai postulé à 8 conférences à ce jour, en essayant de proposer des idées originales et en nombre (de 2 à 12 idées pour chaque conférence).

Résultat : Je suis déjà sélectionné pour 3 conférences, dont l'une des plus grandes au monde dans mon domaine, ng-conf à Salt Lake City ! Avoir été reçu parmi 600 propositions, c'est juste fantastique !

Les deux autres conférences seront à New York City puis à Orlando en Floride, de quoi lier l'utile à l'agréable avec quelques jours de voyage autour...

Être à l'affiche de cette conférence : Quelque chose que je n'aurais jamais imaginé il y a un an ! Mais les choses vont vite dans ce pays...

Second objectif : Acheter un chalet dans la Sierra Nevada pour en faire un AirBnb

Pourquoi ? Parce que c'est le rêve ! Et c'est aussi une façon de diversifier nos revenus avec un investissement dans l'immobilier.

Comment ? Vous savez déjà toute l'histoire en quatre épisodes.

Résultat : C'est fait ! Le listing est en ligne et depuis sa publication, nous avons une réservation par jour pour un total de 12 nuits déjà réservées sur les trois mois à venir ! Le tout en moins d'une semaine...

Le chalet est prêt à être loué... On y retourne ce week-end pour les derniers préparatifs, et les réservations sont possibles dès lundi prochain.

Troisième objectif : Faire au moins 250 000 dollars de revenus en 2018

Pourquoi ? Pour faire un peu mieux qu'en 2017.

Comment ? Si je le savais... Plus sérieusement, le plan est en marche. Je travaille avec une entreprise de lead generation pour aider avec ce que je ne sais pas faire (me faire connaître auprès de gens qui ne me connaissent pas) et continue de faire ce que je sais faire (publier régulièrement sur mon blog, parler en public, etc.).

A chaque fois que je suis en déplacement pour des formations, je profite de l'opportunité pour intervenir en public afin de me faire connaître. Je l'ai donc fait à Milwaukee et à San Francisco, et ai pour objectif de le faire six fois minimum cette année.

Résultat : La trajectoire actuelle se dirige vers 290 000, mais il reste 75% de l'année à couvrir... Disons que c'est bien d'être en avance sur les temps de passage !

Sur scène dans les bureaux de Google à San Francisco en mars dernier. Encore quelque chose que je n'aurais jamais pensé faire de ma vie !

Voilà donc pour quelques exemples d'objectifs et l'avancement des choses en ce début 2018. tout va donc pour le mieux !

Côté voyages business, j'ai découvert Milwaukee dans le Wisconsin, suis retourné à Detroit, plusieurs fois à San Francisco, et je vais aller six jours en Inde dans quelques semaines !

Au siège de VMWare à Palo Alto, un nouveau super gros client, et dans la Silicon Valley qui plus est.

Du coup, vous comprenez certainement pourquoi mon rythme de publication a été moins régulier sur ce site ces dernières semaines... Il y avait du pain sur la planche !

Le meilleur moyen d'avancer est de se fixer des objectifs et d'y travailler tous les jours, ce à quoi je me suis attelé avec pas mal de succès en ce début d'année. Je n'ai mentionné que 3-4 objectifs ici, mais j'en ai un total de... 29 en tout et pour tout ! Donc je n'ai pas le temps de m'ennuyer.

Comme d'habitude, si vous avez des questions ou désirez en savoir plus sur mes objectifs, n'hésitez pas à m'en faire part en commentaires.